J’ai croisé au musée de la Poste, où certaines de leurs œuvres sont disséminées parmi les collections permanentes, mes amis suisses de Plonk et Replonk, leur humour délicieux, leurs cartes postales absurdes et leurs stickers indispensables.
Je suis d’accord avec la plupart de leurs mises en garde, qui me semblent tout à fait justes, par exemple :
Et je ne trouve pas inutile, dans certains cas, d’envisager l’achat d’un cric à débats :
Et je suis plutôt contente de savoir qu’il existe des maisons dans lesquelles Mickey Mouse a dormi le 8 juin 1944 :
J’ai quand même un doute sur une assertion assénée avec force :
Je suis d’accord (évidemment !) pour le « Portugal, USA, pittoresque et beautiful », et pour le « Temps changeant par nébulosité variable ». Mais pour le « Pire que tout, c’est mieux que rien », je suis vraiment réservée, en ce début d’année pas drôle pour certaines personnes que j’aime. Mieux que rien, parfois c’est mieux que pire que tout. Et peut-être même souvent. Et peut-être même tout le temps. Non ?
(Photo de l’auteur)
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